14, jean echenoz personnages principaux

Oui j'ai commencé par 14-14, car c'est vraiment un élève qui n'était pas attiré par la lecture, mais j'ai bien conscience de ses limites. Tout cela décrit à la "sauce Echenoz", son écriture subtile, ses procédés qui semblent cinématographiques, ses … Une femme attend le retour de deux d’entre eux. Trop court... déroutant; et du coup, pas suffisant à mon goùt. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Achat vérifié. Bref, un mot pour dire combien, je me suis profondément ennuyé à la lecture de ce … Lui sur qui ouvre le livre, le temps de quelques pages presque élégiaques, limpides et éblouissantes — des pages qui composent le premier d'une série de quinze chapitres, comme quinze tableaux au fil desquels l'écrivain fait évoluer … 14 (2012) de Jean Echenoz : les personnages Mais aussi quatre autres garçons du même village. Qui sont les personnages secondaires de ce roman ? J'y ai retrouvé l'ambiance de Tardi et de Mael et Kris (Notre mère la guerre, voir billets précedents). Les Éditions de Minuit, 2012, 123 pp. Le personnage principal, Anthime – prénom relevé sur un monument aux morts, a déclaré l’auteur – est comptable. 14, de Jean Echenoz Partant des notes d'un ancien soldat, Jean Echenoz raconte la guerre de 14-18 à travers l'histoire de l'un de ses personnages ordinaires. Le sujet n’est pas à priori très novateur ; citons pour mémoire Céline, Claudel, Duneton, Giono, Japrisot, … 14 Le scénario, bien qu'efficace, n'est qu'un support à déployer une écriture remarquable et pleine d'humour. Avec le roman sobrement intitulé 14, Jean Echenoz semble se lancer, en 2012, un double défi : embrasser, en cent-vingt pages, la Grande Guerre et la majorité de ses visages et caractéristiques ; près de cent ans après les faits, renouveler l’écriture d’une histoire forcément connue du lecteur. Le 14ème titre de Jean Echenoz s’intitule tout simplement « 14 ». Pour l'écriture de son roman, Jean Echenoz décide de s'écarter volontairement des descriptions précises et historiques des évènements, cet « opéra sordide et puant » mille-fois décrit, pour élaborer un bref roman sur l'intérieur de la guerre « à hauteur d'homme ». Son père, Serge Langlois, est un acteur inscrit au patrimoine de son pays, il vit dans un manoir où le luxe drape les consciences de velours. 14, Jean Echenoz - À voir et à manger « Je ne voulais pas de lectures imposées ni qu'un professeur m'explique Proust. Echenoz et le chiffre 2 - Balises - Le magazine de la Bpi

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